Photo : Maciej Hachlica/Krzysztof Wiktor, Ent One Investments / Documents de presse
Comme nous l’avons officieusement rapporté le 30 novembre, la chanteuse Dorota Rabczewska (elle a autorisé l’utilisation de son nom complet) est soupçonnée d’être complice d’un crime au sens de l’article 300 du code pénal, qui concerne le fait de faire obstacle au désintéressement des créanciers. Une déclaration officielle du bureau du procureur de district de Varsovie est maintenant parue, qui confirme que l’artiste a entendu les accusations dans cette affaire. Comme le rapporte tvp.info, il s’agit d’une aide au retrait d’actifs menacés de saisie, grâce à la création d’une nouvelle unité commerciale à Malte.
Selon le procureur Aleksandra Skrzyniarz, la conclusion du contrat de la société en vertu du droit maltais était censée avoir lieu le 11 septembre 2019. À l’époque, la chanteuse devait prendre le relais en tant que directrice et siéger au conseil d’administration de la société afin que son ex-mari Emil. S, qui est un débiteur, pour empêcher la satisfaction des créanciers. Les activités d’essai avec la participation du chanteur ont été entreprises le 29 novembre. Des mesures préventives ont également été appliquées contre Doda.
Emil S. a également entendu les chefs d’accusation, 45 au total, qui lui ont été présentés. Parmi ceux-ci figurent les accusations de s’être soustrait à ses obligations financières envers ses créanciers en créant la société susmentionnée à Malte. Doda risque 5 ans de prison, son ex-mari 10 ans.