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Marvel
Sur le marché américain, le livre a débuté Alien #9le prochain épisode d’une série de bandes dessinées qui est déjà publiée sous la bannière de Marvel. Le scénariste de la série, Phillip Kennedy Johnson, a décidé dans son récit de confirmer enfin que l’Alien et le Predator ont une caractéristique commune, qui est liée à l’attitude des prédateurs de la culture pop face à la maladie de leurs victimes potentielles.
Dans le nouveau volet de l’histoire, l’une des protagonistes féminines, Jane, est attaquée par un facehugger, conséquence de facto des actions de l’androïde Ambrose qui, sur ordre de la société Weyland-Yutani, tente de provoquer la prolifération expresse des xénomorphes sur la planète où Jane est installée. Le fait est que le facehug renonce finalement à faire du protagoniste son nouvel hôte.
Cette tournure des événements est liée au fait que la protagoniste se bat contre une maladie mortelle qui ravage son corps ; la forme originale de l’extraterrestre a très probablement « peur » que Jane ne lui fournisse pas la bonne quantité de nutriments. Il est intéressant de noter que le refus de tuer des malades en phase terminale dans son modus operandi a également été utilisé par Predator. Dans le film Aliens contre Predator du film Spacehunter de 2004 a épargné Charles Bishop Weyland, découvrant qu’il était de toute façon sur le point de mourir d’un cancer du poumon.
Les portails de la culture pop américaine soulignent que si Aliens et Predator ont en commun le fait d’épargner les malades en phase terminale, cela découle en fait de motivations diamétralement opposées. Ainsi, les xénomorphes cherchent à s’accoupler avec le meilleur hôte possible du point de vue de l’évolution, tandis que le prédateur voit dans le fait de tuer une victime malade un manque de compétition « sportive » avec son adversaire.
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